Après avoir suivi l'extrême droite à Mediapart quelques années, je m'intéresse désormais au logement et à l'urbanisme.
Déclaration d’intérêts
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
À la veille de l’examen par l’Assemblée du projet de loi de refondation de l’école, la droite fourbit ses armes. Certains à l’UMP sont bien décidés à ne pas abandonner la question scolaire à la gauche. Avec un handicap de taille : un bilan catastrophique.
La rentrée 2013 devait être celle du véritable changement… Las. Au moment où Vincent Peillon communique sur le succès inattendu des concours de recrutement, plusieurs établissements de Seine-Saint-Denis sont en grève pour dénoncer des moyens en stagnation voire en baisse l’an prochain.
Partisan de la réforme des rythmes scolaires, le maire PS d'Amiens hésite encore à l'appliquer dès l'an prochain. Il demande du temps et de l'argent alors que l'État vient d'annoncer une baisse de sa dotation aux collectivités locales.
Pour la troisième fois en trois semaines, bon nombre d'écoles primaires seront fermées ce mardi pour protester contre la réforme des rythmes scolaires. Reportage à Amiens auprès d'enseignants qui racontent leurs doutes sur cet aménagement du temps scolaire qui se fait « sans eux ».
Pour éviter que les réunions publiques organisées par la mairie de Paris, où les enseignants sont particulièrement mobilisés, ne virent à la catastrophe, le PS parisien réquisitionne ses militants.
Le Front de gauche veut faire entendre sa différence et présente son contre-projet pour l'école. Refusant de se prononcer sur la réforme des rythmes scolaires, il juge largement insuffisants le projet de loi Peillon et les moyens débloqués.
La crispation sur les rythmes scolaires a totalement éclipsé le projet de refondation de l'école. Défendant une loi qui accorde de manière inédite la priorité au primaire, le ministre est confronté à un mouvement d'ampleur chez les professeurs des écoles, avec encore un tiers d'enseignants du primaire en grève ce jeudi. Retour sur un gâchis.
Le projet de loi sur l'école présenté aujourd'hui en conseil des ministres fixe les grandes orientations du quinquennat en matière scolaire : priorité au primaire, formation des enseignants et orientation des élèves. Mais certains gros morceaux, comme les filières du lycée, la carte scolaire ou l'éducation prioritaire, sont renvoyés à plus tard.
Le projet de loi sur la « refondation de l'école » est présenté ce mercredi en conseil des ministres, au lendemain d'une très forte mobilisation contre la réforme des rythmes scolaires à Paris. Il détaille comment seront répartis les 60 000 postes promis par François Hollande.
Coincé entre les débats sur l'immigration, un passé colonial qui ne passe pas et la gestion parfois boutiquière de l'éducation nationale, l'enseignement de l'arabe est moribond alors que la France a longtemps été pionnière dans cette discipline. Enquête sur un paradoxe.
Une majorité d'écoles primaires de la capitale seront fermées ce mardi pour protester contre la réforme des rythmes scolaires, que Bertrand Delanoë veut lancer dès la rentrée 2013. Les syndicats parisiens réfutent l'idée d'une grève « corporatiste ».
Le décret instaurant de nouveaux rythmes scolaires suscite crispation ou rejet chez les enseignants du premier degré. Sébastien Sihr, secrétaire général du SNUipp-FSU, syndicat majoritaire, en détaille les raisons et demande une revalorisation salariale.
Tous ses billets de blogs
Le Club de Mediapart
Participez au débat
Les journalistes de Mediapart utilisent aussi leurs blogs, et participent en leurs noms à cet espace de débats, en y confiant coulisses d’enquêtes ou de reportage, doutes ou réactions personnelles à l’actualité.
Dans un podcast en forme de coup de poing, l’artiste Catherine Perrocheau donne à entendre l’immense lassitude de ceux qui au quotidien accompagnent les sans-abris, confrontés à leur impuissance grandissante face à l’abandon des pouvoirs publics.
La Manif pour tous a refusé d’accueillir Mediapart pour l’université de rentrée de «Marchons enfants» qui a lieu ce 21 septembre à Port-Marly (78). L’événement était officiellement «ouvert à tous». Un boycott qui en dit long sur ce qu’est ce mouvement.
L’hebdomadaire qui publiait ce dimanche une tribune appelant le président à se saisir de la question des violences faites aux femmes, laissait paraître à quelques pages d’intervalle un édifiant article, monument de sexisme ordinaire.
Une « enquête à charge », des « accusations ni étayées, ni documentées », pire « un tas de ragots »…Jean-Loup Salzmann qui a donné une interview à l’Etudiant suite à la parution de notre enquête « Le vice-ministre des universités entre en zone de turbulence» n’a visiblement pas apprécié que Mediapart se penche sur le fonctionnement de son université.
Dans la crise du système scolaire, on oublie complètement de se pencher sur le manque de culture financière des jeunes enfants du primaire. Pas un mot dans les programmes de CP sur ce qu'est une action, nulle définition des taux d'emprunts… Rien.