Cinéma Reportage

Des films pour « comprendre et ne pas comprendre » l’extrême gauche japonaise

Retour sur le FID, festival de cinéma à Marseille, où trois films ont plongé les spectateurs dans les méandres de l'extrême gauche japonaise et les impasses de la lutte armée internationale. Faut-il faire des films, ou la révolution? Un scénario s'écrit-il comme l'on mène une guerre de tranchées? Eléments de réponses sur grand écran.

Ludovic Lamant

Au FID 2011, festival de cinéma qui s'est clôturé lundi à Marseille, les spectateurs ont, entre autres plaisirs, apprivoisé un concept méconnu: l'anabase. A l'origine, un récit militaire du grec Xénophon, écrit entre 391 et 371 avant J.-C., qui décrit le périple de 10.000 mercenaires, partis combattre en Perse, avant de se trouver livrés à eux-mêmes, en terres inconnues. Ils finiront pas rentrer chez eux, presque par hasard, par la mer.

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