Livres Chronique

Andreï Sobol, idéaliste désilusionné entre bagne tsariste et geôle bolchévique

À la découverte d’une merveille de guingois : « Le Panopticum », écrit à partir de 1921 par un esprit égaré dans la Russie blanche puis rouge. Et qui devait payer de sa vie un tel dilemme bicolore : Andreï Sobol. Sa traductrice, Fanchon Deligne, le reverdit.

Pierre Senges (En attendant Nadeau)

Dans Les Années Vingt de Varlam Chalamov, chronique littéraire d’une époque où ont été inaugurés « tous les bienfaits et les forfaits des années qui suivirent », Andreï Sobol fait une très brève apparition : le lecteur a tout juste le temps de le voir quitter Moscou, séjourner à Capri, y écrire un roman « qu’il considérait comme son meilleur ouvrage ».

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