Il fut un temps, entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et la fin des années 1970, où le Parti communiste français (PCF) considérait la CGT comme son bras syndical naturel, voire comme l’organisation de masse qu’il pouvait contrôler. Les dirigeants de la confédération syndicale étaient aussi membres de la direction du parti, leurs buts et leurs visions du monde étaient alignés.
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