Décidément, les éditions L’Œil d’or portent bien leur nom : d’un rayon visionnaire, elles mirent sans détour et dénichent à tout coup l’étonnant, le singulier, le précieux (voir ici et là mes billets consacrés à leurs publications). Avec Un chant de pierre, l’éditeur Jean-Luc André d’Asciano offre au public français un texte inconnu de l’écrivain écossais Iain Banks, plus connu pour son œuvre de science-fiction –à peine la moitié des romans de littérature générale de Iain Banks ont été traduits en français, quand Robert Laffont a publié l’essentiel de son œuvre de science-fiction. Or sa littérature dite « générale » est d’une poésie et d’une élégance suffisamment rares pour être signalées avec véhémence.
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