Olivier Roy: «Le fondamentalisme ne suffit pas à produire de la violence»

Olivier Roy explicite, dans son dernier livre, sa lecture du djihadisme en termes « d’islamisation de la radicalité », pour saisir à la fois les effets boomerang de la « déculturation du religieux » et l’impact d’une terreur très moderne qui prospère sur la peur de l’islam.

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Entre le « ça n’a rien à voir avec l’islam » et le « cela a tout à voir avec l’islam », il existe un espace pour analyser la « profonde modernité dans la violence terroriste et djihadiste qui se déploie depuis une vingtaine d’années », juge Olivier Roy, directeur de recherche au CNRS et enseignant à l’Institut universitaire européen de Florence, qui vient de publier Le Djihad et la mort (Le Seuil).

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