Depuis quelques jours à peine qu’on n’ouvre plus seulement les fenêtres mais aussi les portes, il est temps de refermer cette chronique. C’est le moment de se demander pourquoi, alors que les invitations à la lecture ont plu de toute part sous forme de listes thématiques (le top ten des fictions épidémiques post-apocalyptiques allégoriques !), de recommandations d’écrivains, de programme de développement personnel (venir à bout de Proust en sept semaines), bon nombre d’entre nous n’ont tout simplement pas lu la moindre page de littérature durant ces cinquante-cinq jours.
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