La Gentrification des esprits, ouvrage écrit par Sarah Schulman en 2013 et traduit aujourd’hui par les éditions B42, a perdu, en passant d’une langue à l’autre, son sous-titre : Témoin d’un imaginaire perdu. Il décrit pourtant bien le motif de la colère intacte de cette figure de l’activisme LGBT+ : la perte de ce qui faisait le New York des années 1980, pendant les années sida.
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