LVMH : l’envers de l’empire du luxe Enquête

LVMH : au Bon Marché, de bien mauvaises conditions de travail

Des vendeuses employées dans le grand magasin parisien du groupe de luxe témoignent d’un management brutal généralisé et estiment que la direction installe une concurrence malsaine entre elles.

Khedidja Zerouali

Le Bon Marché, qui porte mal son nom, est un grand bazar pour riches. Comme l’autre grand magasin parisien du groupe LVMH, La Samaritaine, il abrite un mélange de luxe clinquant et d’art contemporain, à coups d’expositions régulièrement renouvelées. Mais pour les salarié·es du plus ancien des grands magasins de Paris, le parallèle se situe ailleurs : comme à La Samaritaine, certain·es des plus de 850 travailleurs et travailleuses racontent un management brutal, et l’installation d’une concurrence malsaine entre elles et eux.

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