Nokia aligne les «contre-vérités» pour défendre ses licenciements
Un rapport remis aux syndicats de l’entreprise démonte les fausses justifications de l’entreprise pour son plan de 1 230 suppressions de postes, annoncé en juin. L’entreprise ne va pas si mal qu’elle l’affirme.
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Dans le cadre généralement policé des relations officielles existant entre la direction d’une entreprise et le cabinet d’expertise mandaté par les élus du personnel pour évaluer ses orientations économiques, voilà un rapport qui détonne. Le cabinet Syndex, poids lourd du secteur (lire notre enquête sur le secteur de l’expertise), vient de livrer aux syndicats de Nokia France un document accusateur, qui décortique et conteste farouchement les explications avancées par la direction pour justifier les 1 230 suppressions de postes qu’elle a annoncées fin juin.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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