« Production de légumineuses, diminution des cheptels... » : ce que la PAC aurait dû encourager
La nouvelle politique agricole commune rate son objectif, estime l’ingénieur agronome et chercheur Pierre-Marie Aubert. Le développement de l’agroécologie pourrait pourtant permettre de réduire fortement la facture climatique.
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LaLa nouvelle PAC sera plus verte que la précédente, nous dit-on au ministère de l’agriculture. Sous-entendu : le versement des aides sera davantage conditionné à des pratiques respectueuses des écosystèmes. Mais qu’en est-il vraiment ? Pierre-Marie Aubert est ingénieur agronome et chercheur à l’Iddri, l’Institut du développement durable et des relations internationales. Il décrypte, pour Mediapart, les avancées et les reculs de cette nouvelle PAC qui entrera en vigueur en 2023.
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