1er-Mai : « Il n’y a rien qui ne m’inquiète pas dans le programme de Macron ! »
À Paris et à Montpellier, la hausse des salaires et la réforme des retraites étaient dans toutes les bouches lors du traditionnel défilé du 1er-Mai. Pour ce premier rendez-vous social du nouveau quinquennat d’Emmanuel Macron, beaucoup ont aussi appelé de leurs vœux une union de la gauche aux législatives.
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ParisParis et Montpellier (Hérault).– Un premier rendez-vous, et sûrement pas le dernier. Parmi les dizaines de milliers de manifestantes et manifestants ayant participé à ce 1er-Mai partout en France, un consensus s’est établi : défiler en cette journée ensoleillée, c’est certes participer à une tradition, prendre part à la journée internationale des travailleurs. Mais c’est aussi, et pour beaucoup, surtout, adresser un premier signal d’opposition à Emmanuel Macron, une semaine après sa réélection à la présidence de la République. À Paris et à Montpelier (Hérault), où Mediapart était présent, ce mot d’ordre était limpide.