Après une première nuit passée place de la République à Paris, les opposants à la loi sur le travail ont poursuivi leur occupation. Deux mille personnes, jeunes adultes pour la plupart, se sont retrouvées pour discuter passionnément du monde dans lequel ils aimeraient vivre. Et pour être ensemble, tout simplement.
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« Allez, on vote. Qui est pour ? » : une nuée de mains sont secouées en l’air. « Qui est contre ? » : quelques paires de bras se croisent à hauteur de tête, pour exprimer le refus. Sur la place de la République, depuis 20 h 30 ce vendredi soir 1er avril, c’est assemblée générale. Plusieurs centaines de personnes (environ 2 000 au plus fort de la soirée) ont agité les bras selon les codes convenus ensemble, pour prolonger toute la nuit la mobilisation de la « Nuit Debout », qui s’était déroulée la veille à l’appel du collectif informel monté autour du film de François Ruffin Merci Patron!.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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