Violences sexistes et sexuelles

La nomination d’Éric Coquerel suscite une polémique parmi les féministes

Plusieurs militantes ont affirmé que le député insoumis, élu jeudi président de la commission des finances, a déjà eu un comportement inapproprié avec des femmes. Mais en l’absence de signalement, aucune enquête n’a abouti. L’intéressé dément, tout en admettant avoir « évolué » depuis #MeToo.

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C’est une affaire – ou une non-affaire, selon les points de vue – qui divise la gauche féministe. L’élection du député insoumis Éric Coquerel à la tête de la commission des finances de l’Assemblée nationale, jeudi 30 juin, a fait éclater ce qui bruissait depuis des semaines, voire des années, dans un petit milieu sensibilisé aux violences sexistes et sexuelles. L’élu de Seine-Saint-Denis y est régulièrement accusé de faire partie de ces responsables politiques que #MeToo aurait dû concerner.  Aucun signalement, aucune procédure formelle, aucune enquête de presse n’est néanmoins jamais venue le confirmer. 

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