Avalanche de plaintes contre les éoliennes de la baie de Saint-Brieuc
Le projet de parc éolien dans la baie de Saint-Brieuc suscite des plaintes en cascade. Après avoir engagé une procédure pour violation de la Charte de l’environnement, les pêcheurs des Côtes-d’Armor en lancent une seconde auprès du Parquet national financier.
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Non seulement le projet de parc éolien dans la baie de Saint-Brieuc suscite un tollé général dans le département des Côtes-d’Armor, unissant les pêcheurs, de nombreuses associations de défense de l’environnement mais aussi des élus de toutes sensibilités, mais voici qu’il déclenche, par surcroît, une avalanche de plaintes devant plusieurs juridictions, pour de multiples griefs. Ce qui laisse penser que le projet, bien qu’il soit soutenu par le gouvernement, est désormais de plus en plus menacé.
Fin avril, un policier a tiré à dix reprises au fusil d’assaut sur une voiture, faisant deux morts et un blessé grave sur le Pont-Neuf, à Paris. Les premiers éléments de l’enquête, auxquels Mediapart et Libération ont eu accès, mettent à mal la thèse de la légitime défense : les balles mortelles ont atteint les victimes par le côté et l’arrière.
La précocité et l’intensité de la canicule actuelle démontrent à quel point l’heure n’est plus à la transition écologique mais à une écologie de rupture, sans transition. Alors qu’à l’ombre de cet événement sont tapies nombre d’injustices, il est temps de cibler les véritables fossoyeurs du climat.
Dans le cadre d’une nouvelle enquête pour « trafic d’influence » et « prise illégale d’intérêts », la justice a découvert des documents dérangeants pour le secrétaire général de l’Élysée. Non seulement il a été beaucoup plus impliqué qu’on ne l’imaginait dans tous les dossiers concernant de près ou de loin l’armateur MSC, mais des documents ont disparu à certains endroits – mais été retrouvés dans d’autres – afin d’effacer les traces de ses interventions.
En renvoyant uniquement vers une réponse judiciaire, l’exécutif commet une triple erreur après les révélations visant le ministre des solidarités. Il confond justice et éthique, se trompe sur le rôle de la presse et contredit l’esprit des lois qu’il fait voter.
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