Par cinquante et une fois, le 11 septembre, Claude Guéant a prononcé la phrase « J’exerce mon droit au silence » face aux juges de l’affaire des financements libyens, Serge Tournaire et Aude Buresi, refusant à la manière d’un Patrick Balkany de répondre à l’intégralité des questions qui lui ont été posées.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous