Un deuxième référendum et après ? C’est la question que se posent la plupart des acteurs du processus décolonial en cours depuis trente ans en Nouvelle-Calédonie, dans l’attente des résultats de la consultation qui se tient dans l’archipel du Pacifique, dimanche 4 octobre. Deux ans après la victoire du « non » à l’indépendance – avec 56,7 % des suffrages exprimés –, quelque 180 640 électeurs sont de nouveau appelés aux urnes pour dire s’ils souhaitent accéder à la pleine souveraineté ou, au contraire, rester dans le giron de la France.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous