Dans l’Oise, la mobilisation contre la chasse à courre
Traqué par un équipage de chasse à courre le 3 février, un cerf a fini sa course dans le centre-ville de Pont-Sainte-Maxence, dans l’Oise. Un épisode de plus alimentant les tensions entre chasseurs et militants antichasse à courre.
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Traqué par un équipage de chasse à courre samedi 3 février 2018, un cerf a fini sa course rue des Bouchers, dans le centre-ville de Pont-Sainte-Maxence, dans l’Oise, relate Le Courrier picard. Comme de coutume, le cerf a alors été gracié par les chasseurs. Quelque 25 gendarmes ont dû intervenir, ainsi qu’un pompier habilité à utiliser un fusil hypodermique, un vétérinaire et l’ONCFS (Office national de la chasse et de la faune sauvage), pour l’endormir afin de le relâcher en forêt. L’épisode apportera sans doute un argument supplémentaire aux militants du collectif Abolissons la vénerie aujourd’hui (AVA), fer de lance de la lutte contre la chasse à courre. Un article du Monde revient sur le climat de grande tension que crée la chasse à courre – aussi appelée vénerie et encore pratiquée en France par 400 équipages – dans le département de l’Oise entre chasseurs et la population, de plus en plus sensible à la cause animale.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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