Face à la multiplication des attaques contre la liberté d’expression et la liberté d’être informé menées en France par Facebook, Mediapart a cherché à savoir comment s’en prémunir. Résultat : c’est compliqué. Un réseau social, pourtant, « n’est pas autorisé à supprimer un contenu non manifestement illégal », rappellent des juristes.
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« J’étais« J’étais en train de vous répondre et j’allais faire une capture d’écran, et oh surprise, notre page n’est plus en infraction depuis au moins aujourd’hui ! Alors qu’elle l’était encore il y a quelques jours… » Léon (prénom d’emprunt) gère la page Facebook du CAMé, le Collectif Auto Média énervé, qui a subi au mois d’août de sévères restrictions de publication de la part du réseau social, et nous lui demandions si la situation perdurait. Mais si la page a retrouvé toutes ses fonctionnalités, savoir pourquoi reste mission impossible.