Justice

À la cour d’appel, Nicolas Sarkozy crie son innocence

Rejugé pour corruption, l’ancien chef de l’État s’en est pris à une enquête illicite selon lui, et a réaffirmé ne rien avoir commis d’illégal en utilisant la ligne téléphonique « Paul Bismuth ».

Michel Deléan

Nicolas Sarkozy n’a pas tardé à prendre ses marques, lundi 5 décembre, au premier jour de son procès en appel pour corruption dans l’affaire dite Paul Bismuth. Invité par la présidente de la chambre correctionnelle de la cour d’appel de Paris à dire quelques mots avant l’ouverture des débats, l’ancien président de la République saute sur l’occasion. « Je conteste ma culpabilité avec la plus grande force », commence-t-il.

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