Face aux victimes de violences anti-LGBTI, des forces de l’ordre encore à la traîne
Un rapport publié ce lundi, mené conjointement par le Conseil de l’Europe et la Dilcrah, pointe les faiblesses de la France pour mener une meilleure politique de lutte contre les LGBTI-phobies. La question de l’accueil des victimes par la police reste centrale.
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SurSur ce sujet des crimes de haine contre les personnes LGBTQI+, les politiques en parlent peu mais promettent beaucoup. Ce lundi, la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (Dilcrah) et le Conseil de l’Europe publient un rapport-fleuve qui nuance certains discours un peu trop optimistes et permet de mieux appréhender les moyens mis en œuvre pour combattre la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre. Avec ses aspects positifs mais aussi ses nombreuses faiblesses.