Université délabrée : « On travaille avec nos manteaux et des bonnets »

L’un des bâtiments de l’université Paris-Est Créteil est dans un tel état que 800 étudiantes de licence ont dû passer aux cours en distanciel en début d’année. La présidence renvoie la faute sur le propriétaire, sans nier ses difficultés financières.

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Le bâtiment Pyramide, à l’architecture qualifiée de « moderniste », est situé à l’aplomb de la station de métro Créteil-L’Échat, dans le Val-de-Marne. Sous les fondations de cette faculté de sciences de l’éducation, un centre commercial un peu déprimant et, en voisine, la Caf du département. À l’intérieur, les locaux sont quasi déserts : les quelque 800 étudiantes* de licence sont en distanciel depuis le 13 janvier, de même que leurs enseignant·es, après des relevés de température sous la barre des 10 °C dans les classes.

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