Violences sexuelles : non, les élus mis en cause ne sont pas « comme les autres »

La majorité a octroyé la présidence du groupe d’amitié France-Liban à l’ancien ministre Damien Abad car il serait « un député comme les autres ». Comme pour le député LFI Adrien Quatennens, les partis politiques ne sont pas à la hauteur de #MeToo.

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« C’est un député comme les autres. » Mercredi 7 décembre, le parti présidentiel Renaissance a parfaitement résumé le fossé béant qui règne entre le mouvement #MeToo et la politique française. Il s’agissait de justifier la promotion de Damien Abad, débarqué du gouvernement après avoir été mis en cause par quatre femmes (lire les enquêtes de Mediapart) pour viol, tentative de viol et agression sexuelle. 

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