Stade de France : le préfet Lallement s’entête, malgré la colère froide de Liverpool
Devant les sénateurs, le préfet de police ne concède que quelques regrets au sujet des incidents du 28 mai. Le maire de Liverpool, lui, n’a pas mâché ses mots pour dénoncer les « mensonges » français. Les images de vidéosurveillance du stade ont été effacées automatiquement, faute de réquisition judiciaire.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
« C’est« C’est à l’évidence un échec. » Invité à s’expliquer sur le fiasco du Stade de France devant les sénateurs et les sénatrices de la commission des lois et de la commission de la culture, jeudi 9 juin, le préfet de police de Paris a d’abord exprimé ses « regrets » que des personnes aient été « bousculées ou agressées alors que nous leur devions la sécurité » et que « l’image du pays ait été ébranlée ».