A Nantes, le projet de CHU, emblème d'une gestion technocratique de la santé
Après Notre-Dame-des-Landes, c’est l’autre grand projet immobilier de Nantes : la ville veut construire un nouveau CHU, qui doit coûter un milliard d’euros. Il fait polémique en raison de sa localisation, sur l’île de Nantes, inondable, de son coût et de son projet médical. L’hôpital va perdre 362 lits dans le déménagement, au nom du « virage ambulatoire ».
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NantesNantes (Loire-Atlantique), de notre envoyée spéciale. – « C’est comme dans le film, le directeur du CHU de Nantes pourrait dire à Agnès Buzyn : “Chérie, j’ai rétréci l’hôpital !” » ironise Jean-Luc Landas, médecin réanimateur qui a exercé au centre hospitalier pendant 30 ans, aujourd’hui en retraite. En tant que militant de la Ligue des droits de l’homme, il est membre d’un vaste comité pour le droit à la santé et à la protection sociale, à Nantes, opposé au projet de nouveau CHU.
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