Le gouvernement, dans l’embarras, s’en était sorti par une pirouette : opposé à un assouplissement de l’accès à l’IVG, il avait annoncé la saisine du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) pour évaluer la pertinence de la proposition de loi votée début octobre, avec le soutien de la majorité LREM et des gauches parlementaires. Elle était portée par un groupe dissident de La République en marche, aujourd’hui dissous, et notamment par la députée Albane Gaillot.
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