Un dossier vide de preuves. C’est le thème martelé, mercredi 9 et jeudi 10 décembre, par les avocats de la défense en conclusion du procès de l’affaire de corruption dite affaire « Paul Bismuth ». Les défenseurs de Nicolas Sarkozy, Gilbert Azibert et Thierry Herzog, ont exhorté les magistrats de la 32e chambre correctionnelle de Paris à faire preuve de courage et d’indépendance en prononçant une relaxe pour leur client.
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