Il aura fallu attendre un mandat bien entamé et de nombreux scandales pour qu’Emmanuel Macron annonce un outil pour lutter contre les discriminations. Après la révélation de l’affaire Michel Zecler, tabassé par trois policiers en novembre dernier, le président l’avait ainsi annoncé lors d’une interview donnée au média Brut : « C’est vrai qu’aujourd’hui, quand on a une couleur de peau qui n’est pas blanche, on est beaucoup plus contrôlé […], le seul moyen de bouger, c’est de faire ce qu’on a su faire sur d’autres violences, c’est de mettre en place une plateforme commune pour que les gens puissent dénoncer de manière très simple, unique et nationale. »
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