Présidentielle: le FN est à la recherche de financements à l’étranger
Pour 2017, le Front national a besoin d'au moins 23 millions d’euros. Le parti, qui dénonce un « refus » des banques françaises de lui accorder un prêt, se tourne à nouveau vers l’étranger. Cotelec, le micro-parti de Jean-Marie Le Pen, financera également une partie de la campagne, malgré la rupture entre les Le Pen.
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« Ça avance bien, mais tant que les fonds ne sont pas arrivés… » Bernard Monot, le « stratégiste économique » de Marine Le Pen, attend de le voir pour y croire. Mais à écouter l'eurodéputé, la recherche d'emprunts à l'étranger pour financer la campagne présidentielle du Front national serait en bonne voie. « C’est plutôt le trop-plein. On se concentre sur deux ou trois pistes qui peuvent aboutir, mais on a mis une douzaine de lignes à l’eau qu’on peut actionner.Nous cherchons à l’Ouest, on privilégie la zone dollar et la zone euro, car les taux sont relativement faibles. On a aussi des pistes au Moyen-Orient », affirme-t-il à Mediapart, tout en soulignant que «rien n’est encore signé ».
L’arrivée au pouvoir de Xi Jinping il y a près de dix ans a été marquée par un durcissement du contrôle du débat public en Chine, en particulier sur les réseaux sociaux. Les critiques de la politique « zéro Covid » ou de la guerre déclenchée en Ukraine par l’allié russe viennent d’en faire les frais.
Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
Attentats du 13-Novembre : les grands entretiens
— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
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