Assis sur un banc face à la mer dans les environs de Beyrouth, les bras serrés le long du corps, Ziad Takieddine, ruiné et en cavale après sa condamnation à de la prison ferme dans l’affaire Karachi, se rétracte. En une trentaine de secondes – probablement l’interview la plus courte de l’histoire de BFM-TV –, l’homme d’affaires annonce que la justice française lui a fait dire le contraire de ce qu’il pensait ou disait durant près de huit ans dans l’affaire des financements libyens.
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