Quatre ans après l'interpellation, au petit matin du 11 novembre 2008, de 15 membres du groupe de Tarnac, Julien Coupat et Mathieu Burnel estiment l'affaire « finie ». « Nous avons l'impression d'avoir fait justice de l'ensemble des allégations policières », dit-il. Revue de détail des incohérences policières.
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« Pour« Pour nous, il n'y a plus d'affaire Tarnac. Nous avons l'impression d'avoir fait justice de l'ensemble des allégations policières. » Quatre ans après l'interpellation, au petit matin du 11 novembre 2008, de 15 membres du groupe de Tarnac, Julien Coupat, mis en examen pour « direction d'une structure à vocation terroriste », juge avoir fait la preuve d'une « construction policière ». Les dix mis en examen de l'affaire de Tarnac sont poursuivis pour quatre sabotages commis sur des lignes TGV à l'automne 2008, dont la pose d'un fer à béton sur des caténaires à Dhuisy, en Seine-et-Marne, dans la nuit du 7 au 8 novembre.
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