Au soir de l’attentat de Charlie Hebdo, Amedy Coulibaly n’est encore qu’une ombre. Un loup solitaire, sans identité, qui surgit dans l’obscurité. Le 7 janvier, vers 20 h 30, il tire cinq balles sur un jogger de passage sur la coulée verte de Fontenay-aux-Roses, puis se volatilise, sans laisser de traces. Le jogger, Romain Dersoir, grièvement blessé, est pris en charge à temps et survit.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous