Il y aurait donc les bons et les méchants. Ceux qui chercheraient à discuter et ceux qui voudraient engager un « bras de fer » avant même que « les négociations » n’aient démarré. Ceux qui seraient « responsables » et les autres. Depuis que l’intersyndicale de la SNCF a appelé à un mouvement de grève long – et discontinu – pour combattre la réforme de l’entreprise voulue par Emmanuel Macron, le gouvernement et la majorité n’en finissent plus d’exprimer leur « étonnement » face à ces syndicats qui préfèrent, pour reprendre les mots du ministre de l’économie Bruno Le Maire, « lancer immédiatement une grève [...] alors même que les discussions ne sont pas encore achevées ».
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