Jeudi, la majorité présidentielle a désigné de nouvelles têtes d’affiche, ministres, présidents de l’Assemblée et du groupe socialiste. Au gouvernement, les quatre nouveaux, dans le respect de la parité, renforcent les radicaux de gauche et les proches de Ségolène Royal.
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Le « dispositif » socialiste se complète. Après le grand chelem des 25 ministres candidats aux législatives, le nouveau pouvoir socialiste a dévoilé ce jeudi de nouveaux visages de sa République. Outre son candidat à la présidence de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, et son président de groupe parlementaire, Bruno Le Roux, le mini-remaniement a finalement accouché de quatre ministres supplémentaires, après plus de trois heures d’attente par rapport à l’horaire annoncé. Deux femmes, deux hommes, pour respecter la parité d’un gouvernement de 38 ministres. Mais au bout du compte, le nouvel échafaudage a des airs étranges de jeu de bonneteau. Les nouveaux entrants rééquilibrent surtout la proportion de sénateurs, de radicaux et de royalistes.
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par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
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— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
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