Néonazis dans l’armée: le début d’un grand ménage?
Florence Parly et de hauts cadres du ministère des armées se succèdent dans les médias et sur les réseaux sociaux pour condamner les militaires néonazis révélés par l’enquête de Mediapart. Le contrat d’un premier légionnaire a été dénoncé.
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LaLa ministre Florence Parly mercredi au Sénat, puis dans la soirée sur Twitter ; le porte-parole des armées lui aussi sur Twitter, puis sur RMC jeudi matin ; le chef d’état-major des armées sur BFMTV dimanche soir : depuis que Mediapart a révélé la semaine dernière une cinquantaine de nouveaux cas de militaires néonazis, les plus hautes autorités du ministère des armées se succèdent dans les médias et sur les réseaux sociaux… pour reconnaître l’utilité de notre enquête.