Ni concorde ni trêve. Il n’aura pas fallu vingt-quatre heures après l’attentat terroriste de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) pour que la gauche s’entredéchire sur son rapport à l’islam, à la laïcité et à la République. Une guerre larvée et ancienne, y compris au sein des formations politiques elles-mêmes. Mais qui, depuis le 16 octobre, a franchi un nouveau palier : associations antiracistes pointées du doigt, intellectuels intimés par leurs pairs de « rendre des comptes », élus et syndicalistes hués au rassemblement organisé dimanche en hommage à Samuel Paty…
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