Violences sexuelles : en mer, les femmes sont particulièrement exposées
Des femmes travaillant sur les bateaux de la compagnie Genavir, gérant la flotte de l’Ifremer, rêvent de mettre fin à l’impunité et dénoncent l’attitude de leur employeur. La compagnie esquisse un mea culpa.
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DansDans le monde, très codifié, de la marine marchande, les bateaux de Genavir, la compagnie gérant la flotte de l’Ifremer (Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer), devaient servir d’exemple. Ce sont eux qui embauchent le plus de femmes, qui refusent que les élèves aient pour mission de servir boissons ou crêpes aux officiers à bord. La présence de scientifiques à leurs côtés est réputée changer l’atmosphère habituelle entre matelots.