«C’est oppressant, 18 m². » À Dijon, le temps s’étire lentement dans la chambre du Crous de Laura, 18 ans, étudiante en L1 d’histoire. Le ménage s’y fait rare dans sa résidence. L’impression de vivre dans une résidence fantôme. Elle cohabite depuis la rentrée de septembre avec des crottes de souris dans les couloirs. La résidence n’est pas vraiment sécurisée non plus.
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