Détenus condamnés pour terrorisme : la réinsertion à la peine
Depuis 2020, près de 300 hommes et femmes condamnés pour des faits de terrorisme en lien avec l’idéologie djihadiste ont retrouvé la liberté. Alors qu’une cinquantaine de plus sortiront d’ici la fin de l’année, les témoignages recueillis par Mediapart montrent combien les objectifs de réinsertion se heurtent aux enjeux sécuritaires dans une société toujours endolorie par les attentats.
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« Djihadistes« Djihadistes un jour, djihadistes toujours ? » Cette question empruntée à Marc Hecker, chercheur à l’Institut français des relations internationales (Ifri), traduit bien l’enjeu que pose la libération des centaines d’hommes et des dizaines de femmes condamnés pour avoir rejoint ou tenté de rejoindre, il y a quelques années, des groupes djihadistes dans la zone irako-syrienne ou bien prêché des idées mortifères.