Benoît Hamon avait beaucoup à perdre. Manuel Valls, arrivé deuxième du premier tour de la primaire socialiste dimanche 22 janvier, avait décidé de l’attaquer frontalement. Jeudi soir, l’unique débat de cet entre-deux-tours, un échange souvent nerveux, a une nouvelle fois souligné les divergences des deux candidats sur la vision du travail, la politique économique, la laïcité ou l’écologie. Sans aboutir, semble-t-il, à un grand renversement de tendance.
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