Manque de moyens, déconsidération et pressions: la colère inédite de la police anticorruption
Manque de moyens, déconsidération de la haute hiérarchie policière et multiplication des pressions politiques : vingt-cinq fonctionnaires de l’Office anticorruption, le service d’élite de la PJ française dans la lutte contre la “délinquance en col blanc”, ont adressé au directeur général de la police nationale un courrier alarmant. Mediapart le publie.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
DeDe mémoire d’enquêteur financier à la police judiciaire, il s’agit d’une première. Vingt-cinq fonctionnaires de l’Office anticorruption (OCLCIFF) de Nanterre, le service d’élite de la PJ française dans la lutte contre la “délinquance en col blanc”, ont adressé le 13 mars au directeur général de la police nationale un courrier alarmant, dans lequel ils alertent sur trois phénomènes qui mettent aujourd’hui en danger leur mission : une absence chronique de moyens, une déconsidération de la haute hiérarchie policière et la multiplication de pressions politiques sur leur travail.
Actionnaires directs et indirects : Société pour l’Indépendance de Mediapart, Fonds pour une Presse Libre, Association pour le droit de savoir
Rédaction et administration : 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris
Courriel : contact@mediapart.fr
Téléphone : + 33 (0) 1 44 68 99 08
Propriétaire, éditeur, imprimeur : Société Editrice de Mediapart
Abonnement : pour toute information, question ou conseil, le service abonnés de Mediapart peut être contacté par courriel à l’adresse : serviceabonnement@mediapart.fr ou par courrier à l'adresse : Service abonnés Mediapart, 11 place Charles de Gaulle 86000 Poitiers. Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris.