2011 est si loin. À la veille du second tour, François Hollande, porté par un anti-sarkozysme puissant, faisait figure de favori. Non seulement de sa primaire, mais de la présidentielle. Cinq ans plus tard, les électeurs qui se déplaceront dimanche 29 janvier pour départager Benoît Hamon et Manuel Valls seront nettement moins nombreux, et sans grande illusion de victoire.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous