Au Cameroun, « l’hydre de la corruption » gagne du terrain
Le Cameroun est l’un des pays les plus corrompus du monde, selon plusieurs classements internationaux. Racket, pots-de-vin, détournements de fonds publics se retrouvent dans tous les secteurs. Des raisons historiques, économiques et politiques sont à l’origine de ce phénomène.
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Alors qu’elle s’apprêtait, fin 2020, à quitter le Cameroun pour aller en France, Élise a vécu une expérience singulière. Ayant l’obligation de présenter à l’aéroport un test de dépistage du Covid-19, elle s’est rendue dans un hôpital public de Yaoundé pour en effectuer un. Lorsqu’elle a voulu récupérer le résultat, quelques heures avant son départ, surprise : les agents hospitaliers lui ont annoncé qu’ils ne pouvaient pas le lui délivrer.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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