Depuis plus d’un an, la Turquie tient à bout de bras le très précaire Gouvernement d’union nationale (GNA), seule autorité reconnue comme légitime par l’ONU en Libye. Ne lésinant pas sur les moyens – livraisons d’armes lourdes, déploiement d’un encadrement militaire et de milliers de mercenaires syriens –, elle a sauvé le régime du président Fayez el-Sarraj de la destruction en brisant le siège de Tripoli.
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