L’Europe rongée par les extrêmes droites

Le Portugal appelé aux urnes, sur fond de scandales de corruption à répétition

Après la démission surprise d’António Costa, la droite portugaise espère mettre un terme, dimanche 10 mars, aux huit années de règne du Parti socialiste. Mais la poussée annoncée de l’extrême droite rend les équilibres incertains.

Ludovic Lamant

Lisbonne (Portugal).– Le Portugal sera-t-il doté à temps d’un nouveau gouvernement pour commémorer, le 25 avril prochain, les 50 ans de la révolution des Œillets ? La question se pose de manière insistante, à l’approche des législatives anticipées organisées dimanche 10 mars dans le pays. L’extrême droite, alliée de Marine Le Pen dans la perspective des élections européennes de juin, pourrait s’y trouver en position d’arbitre.

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