Afrique(s)

« Goodbye Julia », le passé meurtri du Soudan

Dans son premier long métrage, le réalisateur soudanais Mohamed Kordofani conte une belle et ambiguë histoire d’amitié entre deux femmes, avant la séparation du pays en deux États en 2011. Le film prend une acuité nouvelle dans le contexte de la guerre actuelle.

Gwenaelle Lenoir

Sélectionné pour les Oscars, remarqué à Cannes, en salles depuis le 8 novembre : un des mérites immédiats du premier long-métrage du réalisateur soudanais Mohamed Kordofani est de rappeler que le Soudan existe et qu’il a même un cinéma. Là n’est pas la seule de ses qualités : Goodbye Julia est un beau film, tant sur le plan de l’esthétique que par son propos.

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