En France aussi, les services de renseignement s’inquiètent de l’activisme des suprémacistes blancs

Le suspect des attentats de Christchurch affirme avoir voulu venger la France, victime d’une « invasion par les non-Blancs ». Depuis trois ans, les services de renseignement français surveillent des groupuscules islamophobes.

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C'est un manifeste politique, intitulé « Le grand remplacement » et posté sur les réseaux sociaux une heure avant les attentats, qui dévoile les motivations du principal suspect de l'attaque de deux mosquées de Christchurch (Nouvelle-Zélande) ayant causé la mort d'au moins 49 personnes, vendredi 15 mars. Il déclare vouloir « venger les centaines de milliers de morts causées par les invasions étrangères en Europe tout au long de l’histoire » et les « milliers de victimes des attentats ». Il évoque aussi la France et son « invasion par les non-Blancs ».

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