De nos envoyés spéciaux en Albanie. Sur l’artère piétonnière de Bajram Curri, une petite ville perdue des montagnes du nord de l'Albanie, non loin des frontières du Kosovo, Kujtim et Saimir (les prénoms ont été changés à la demande des personnes) achèvent leur promenade quotidienne. « J’ai passé un mois et demi en France avant d’être renvoyé. Je n’ai pas obtenu l’asile mais c’était toujours mieux que de rester ici », soupire Kujtim.
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