Europe

Tchétchènes : la torture ou la mort

Les enquêteurs autrichiens continuent d'étudier de près la piste politique après le meurtre par balles, mardi 13 janvier, à Vienne d'un dissident, ancien garde du corps du président tchétchène pro-russe, Ramzan Kadyrov. Réfugié en Autriche depuis 2006, Umar Israilov est le dernier d’un longue liste de dissidents à avoir payé de sa vie la volonté de traduire en justice les coupables des exactions et des actes de torture qui n’ont jamais cessé dans la république de Tchétchénie, appartenant à la fédération de Russie. (Photo: Dmitri Medvedev et Ramzan Kadyrov, 2008.)

Maguy Day

Même s’ils n’en détiennent pas encore la preuve, les enquêteurs autrichiens privilégient la piste politique après l’assassinat d’un dissident tchétchène mardi à Vienne. Abattu par balles alors qu’il sortait d’une épicerie dans la capitale européenne, Umar Israilov, un Tchétchène de 27 ans, a été garde du corps de Ramzan Kadyrov, le président tchétchène pro-russe avant de demander asile à l’Autriche en 2006.

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