Union européenne : des ONG critiquent une présidence française « sous influence »
Paris a-t-il succombé aux appels du privé pour financer la présidence de l’UE ? Les partenariats conclus avec Renault et Stellantis inquiètent des ONG, qui signalent le risque de conflits d’intérêts. Le gouvernement dément : « Nous avons évité tout sponsor privé. »
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
SurtoutSurtout pas des « sponsors », au mieux quelques « mécènes » : la présidence française du Conseil de l’Union européenne, durant laquelle pas moins de 400 événements se tiendront dans le pays jusqu’à juin, a fait appel à deux constructeurs automobiles, Renault et Stellantis (issu de la fusion entre PSA et Fiat Chrysler). Ils prêteront 220 véhicules « propres » pour la tenue des sommets et réunions ministérielles.